Le délarvage à la main
Le délarvage à la main
Suite à mon premier article sur les larves et les différentes manières de s’en débarrasser, et pour répondre à cette demande, voilà un article que j’espère suffisamment complet pour traiter du délarvage à la main. J’y aborde toutes les phases de l’opération, du début à la fin, en insistant sur les pré-requis que j’ai déjà traités comme le ressenti énergétique, la visualisation et la projection, mais également sur les bémols que cette pratique implique. À vous de juger maintenant, et éventuellement de tenter l’expérience si vous y êtes forcés, en principe, vous avez désormais toutes les clés en main !
Qu’est-ce que le délarvage à la main ?
Nous avons déjà vu, dans mon article sur les larves, ce qu’était ce type de parasites et les différentes méthodes pour vous en débarrasser. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous invite à le faire avant de poursuivre car j’y énonce et explique des méthodes beaucoup plus simples, mais nous reviendrons plus tard sur la complexité et les éventuels problèmes liés au délarvage à la main, et dans la mesure où un article complet sur le sujet m’a été pas mal réclamé, je m’exécute !
Alors, qu’est-ce donc que le délarvage à la main ? Et bien en fait, et sans tourner autour du pot, il s’agit d’une technique qui consiste à tuer une larve… à la main, et ce sans aucun matériel ou autres produits que j’ai pu mentionner dans mon article précédent.
Nous parlerons plus loin des avantages de maîtriser le délarvage à la main, et on se demandera surtout pourquoi y avoir recours si c’est si compliqué que ça a priori, mais il est vrai que l’apprentissage de cette technique peut être d’un grand secours parfois, et j’ajouterai qu’elle fonctionne aussi bien sur des larves qui ont déjà infectées une personne que sur des larves qui se baladeraient près de vous (à condition de savoir les repérer bien sûr).
Cette partie n’étant qu’une introduction, passons tout de suite aux détails pratiques qui nous intéressent en développant l’ensemble des points que je viens d’aborder, ainsi que la technique en elle-même.
Pourquoi avoir recours au délarvage à la main ?
Il existe plusieurs raisons qui peuvent pousser à avoir recours au délarvage à la main. Plus précisément, je n’en vois que deux en fait :
Vous pouvez par exemple vouloir apprendre cette technique car les autres méthodes pour se débarrasser d’une larve vous sont inaccessibles. Ainsi, comme je l’ai mentionné dans mon article dédié à ces entités, un simple bain à l’huile essentielle de citron ou un coup d’athamé suffisent à tuer une larve, ça n’est pas bien compliqué au fond. C’est pour ça que (et je vais être très franc), j’ai un peu de mal avec cette « excuse » qui selon moi ne tient pas. Que l’on n’ait pas de baignoire chez soi, ça je peux comprendre, par contre préférer acquérir une technique difficile et moins sûre plutôt qu’une lame en fer brut isolée ? Sérieusement ?
C’est là qu’intervient à mon avis le principal engouement pour le délarvage à la main : la maîtrise d’une technique à la fois difficile et puissante, et je ne blâmerai personne là-dessus, ceux qui me connaissent savent mon goût pour la complexité !
Cela étant, et en dehors de tout ce que l’on vient de dire, maîtriser le délarvage à la main procure un réel avantage sur ce type de parasites. Je l’ai dit, c’est quelque chose de difficile, mais j’ai moi-même appris sur le tas dans une situation où je n’avais pas le choix, alors dans ces cas-là, et parce qu’on ne se balade pas en permanence avec un athamé ou de l’huile essentielle de citron, effectivement, savoir délarver à la main est un sacré avantage !
Comment délarver à la main ?
Bon, on rentre dans le vif du sujet ! Alors, le délarvage à la main n’est pas du tout dangereux, pas plus que n’importe quelle autre méthode pour se débarrasser d’une larve. Cela dit, c’est une technique difficile, et qui demande une bonne maîtrise du ressenti énergétique, de la visualisation et de la projection, c’est précisément pour ça que j’ai insisté et écris là-dessus avant de publier cet article. Mais vous allez comprendre.
Pour commencer, il faut arriver à déterminer si une personne est infectée par une larve. Bien entendu, et comme je l’ai déjà dit dans mon article sur les larves, il y a plusieurs symptômes physiques : une baisse (parfois importante) d’énergie, des douleurs dans le bas du dos (puisque c’est généralement là que larves se fixent), cela étant, ce sont des symptômes qui, au fond, peuvent coller avec pratiquement n’importe quoi. Il faudra donc détecter la larve, et c’est là que le ressenti énergétique intervient. Bon je ne vais pas aborder le délarvage à la main sur une larve qui n’a encore infecté personne et qui se promène. Pour être honnête avec vous, c’est comme ça que j’ai appris à délarver à la main, et sur le tas parce que je n’avais pas d’autre option une fois que j’avais chopé le machin, mais c’est un cas tellement rare et tellement complexe que ça ne vaut pas le coup de s’épancher là-dessus dans un article qui va être suffisamment long comme ça…
Donc, si vous avez une bonne maîtrise du ressenti énergétique, vous devriez être capable, en passant vos mains autour d’une personne (commencez par cibler le dos encore une fois), de ressentir véritablement la larve, la sensation que cela procure en la touchant, sa taille, sa forme, normalement ça doit même être un peu impressionnant quand on a pas l’habitude, mais c’est bon signe, ça voudra dire que vous avez mis dans le mille. Une fois la larve détectée, vous allez pouvoir essayer de la tuer (n’ayons pas peur des mots parce qu’il s’agit de ça finalement) à la main.
Pour ce faire, interviennent ici ce que vous avez appris et ce que vous êtes sensés maîtriser pour cette opération, en visualisation et en projection mentale.
Vous allez alors devoir prendre (vraiment) la larve dans vos mains, et concentrer un maximum d’énergie (s’écoulant le long de vos bras) jusque dans la paume de vos mains. Projetez cette énergie dans la larve avec un maximum de déchaînement (utilisez des émotions fortes si ça vous aide) jusqu’à… ce qu’elle explose, littéralement. Ah oui c’est moins drôle là, et c’est en partie pour ça que je n’encourage pas cette pratique, surtout lorsqu’on peut s’en passer, mais je vais y revenir plus loin.
Comment être certain qu’un délarvage à la main a fonctionné ?
Alors pour l’avoir fait j’ai du mal à savoir comment on peut avoir un doute, et si c’est le cas, c’est probablement soit qu’il n’y avait pas de larve du tout, soit que vous ne l’avez pas tuée. Je vous assure que si un jour vous faites littéralement éclater une larve dans vos mains, vous allez le savoir tout de suite !
Bon pour commencer, la débauche d’énergie vous aura fatigué. La personne infectée peut également avoir eu mal pendant l’opération, mais ça n’est pas systématique. Le principal truc, c’est qu’en délarvant à la main, et en faisant exploser ce parasite, vous allez être littéralement aspergés par l’explosion en question, et croyez-moi, c’est franchement dégueulasse. Même si la larve existe sur un autre plan, il n’est pas si éloigné du nôtre et vous allez forcément sentir ses résidus, vous allez vous sentir sales avec une envie de prendre une bonne douche, ce que je vous encourage à faire d’ailleurs.
Si l’infection par une larve est bel et bien confirmée et que vous n’avez pas réussi à délarver à la main, vous pouvez bien sûr tenter de répéter l’opération (c’est votre cobaye qui va être content !), mais je vous suggère plutôt de vous rabattre vers l’une des deux autres méthodes telles que décrites dans mon premier article sur les larves et la manière de s’en débarrasser.
Mises en garde et bémols sur le délarvage à la main
Bon je ne vais pas le nier hein, la maîtrise du délarvage à la main est un sacré atout, surtout lorsque l’on a ni baignoire, ni athamé. Et pour l’avoir fait moi-même, je ne vais pas rentrer dans le « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fait ».
Cela étant, c’est quelque chose de vraiment difficile, et c’est justement parce que j’y ai eu recours, sans aucun autre moyen à disposition, que je vous assure également que c’est franchement désagréable, ça n’a rien de « cool ».
Même sans avoir de baignoire chez soi, se procurer un athamé n’est pas compliqué, et c’est moins pénible. Après je reconnais que c’est circonstanciel et qu’il peut y avoir des cas, comme je l’ai vécu, qui ne laissent absolument pas le choix.
Mais une dernière fois, et quand bien même maîtriser cette technique est un avantage certain, je peux vous assurer qu’après y avoir goûté, vous n’aurez pas du tout envie de faire ça tous les jours, c’est franchement crade, et si on peut éviter, c’est mieux à mon sens. Après, à vous de tester ou pas en fonction de vos envies et de vos besoins mais surtout, à vous de juger !
Auteur : Shaël
