Rentrer chez soi : la reconnexion à la lignée cosmique

Avertissement : cet article est une hypothèse qui pose la possible existence de lignées cosmiques. C’est essentiellement basé sur l’intuition et n’est étayé ni par des preuves scientifiques, ni par des écrits ésotériques. Il convient donc de prendre une hypothèse exactement pour ce qu’elle est : une possibilité à vérifier, pour la confirmer ou l’infirmer, ou éventuellement la poser sous d’autres aspects.

J’ai besoin de rentrer chez moi.
A la dernière lune descendante, début décembre dernier, j’ai coupé les liens avec mes origines de naissance dans un rituel de bannissement, car je ne reconnais rien de ces racines qui de surcroît, n’ont plus lieu d’être.

Aujourd’hui, dimanche 12 décembre 2021, apparemment, jour de portail, j’ai ressenti mes racines d’origine, celles de vies passées lointaines que j’ai déjà rêvées. Et j’ai beaucoup pleuré, car je sais, intimement, au fond de moi, que ce sont là mes racines cosmiques, celles qui transcendent le temps et l’espace. Et j’ai ressenti le besoin de rentrer chez moi.
Et j’ai aussi compris, ou du moins, eu l’intuition, que depuis quelques vies maintenant, je (ou mon âme, on va appeler « ça » comme ça) suis « placée », « trimballée », de famille en famille, de lignées qui ne sont pas les miennes. Ce qui, pour moi, explique ce que j’ai vécu dans la dernière famille d’accueil terrestre dans laquelle j’ai ouvert les yeux sur ce monde.

Au delà de la théorie du « mouton noir » de la famille, je pense que les lignées, notamment humaines, sont liées à la matérialisation des énergies en cet univers que nous connaissons. Je suppose qu’un « logiciel » ou plusieurs, ou différentes versions de logiciel(s), ont été développés de façon à permettre cette matérialisation (je ne sais vraiment pas quels autres termes pourraient être plus appropriés que ceux utilisés dans cet article). Pour une raison qui m’échappe, ce ou ces logiciel(s) produisent des bugs régulièrement.
D’où des personnes qui naissent sur Terre, dans la mauvaise ethnie pour elles, ou dans le mauvais genre (féminin, masculin) pour elles. Ça peut potentiellement expliquer pourquoi tel enfant se fait rejeter et maltraité par son entourage familial. En effet, il ou elle, n’est pas reconnu(e) par la lignée d’accueil. Mais, il se peut aussi que l’enfant ait la chance de naître ou d’être adopté dans une famille bienveillante, qui les aide à se reconnecter d’une façon ou d’une autre aux lignées originelles ou bien d’intégrer la lignée « adoptive ».

En tout cas, quand on prend conscience qu’il y a quelque chose qui est incohérent dans sa vie, et que l’intuition de ne pas appartenir à la lignée dans laquelle nous avons vu le jour, se fait de plus en plus pressante, il n’y a pas d’autre solution que de prendre sa « boîte à outils » pour aller trouver sa lignée cosmique. Alors, il est possible de re-matérialiser les clés qui permettent d’ouvrir les portes de cette lignée et, pas à pas, de retrouver sa place légitime. Et aussi, peut-être d’enrichir cette lignée. Car les errances dans les vies colorent les âmes et il n’est pas possible de se débarrasser de ces couleurs absorbées par l’âme qui voyage dans d’autres lignées cosmiques. La lignée originelle est donc modifiée avec ces couleurs, mais sans pour autant se transformer complètement. Le plus difficile étant, je pense, de comprendre et d’accepter le fait que nous ne sommes pas nés ou nées à notre place dans la lignée « adoptive » qui nous accueille ou nous subit, c’est selon…
Ensuite, il s’agit de prendre son bâton de pèlerin et de partir à la recherche de la lignée originelle. Et aussi, de développer, comme je l’ai mentionné plus haut dans l’article, les outils et les clés pour la réintégrer. Et ce, tout en ayant absorbé les couleurs des lignées cousines ou voisines. J’ose à peine dire « étrangères », car les lignées sont toutes plus ou moins liées par des ponts. Enfin, être reconnu et reconnue et/ou accepté ou acceptée par cette lignée originelle.

Qu’est-ce qui nous relie à ces lignées ? A mon sens, et je vais expliquer pourquoi, ce sont les entités et égrégores qu’on appelle « divinités ». Lorsqu’on se relie à ces entités, c’est comme une lumière dans l’obscurité, un phare qui guide le vaisseau dans la nuit noire. Mais, à ceci près, que les divinités qui nous guident, nous les trouvons seuls et seules, par nos propres moyens ! Et c’est capital de comprendre ça. Nous les trouvons en dehors des influences de cultes qui recrutent ou soumettent de force.

C’est un chemin d’ermite qui nous permet d’aller à leur rencontre. L’illusion de la foi cultuelle masque ou se superpose sur la recherche de la lignée fondamentale et des entités qui y sont liées.

Justement, de quelle nature sont ces entités ou égrégores ? De ce que je peux percevoir et comprendre de ces mondes, ces entités sont lumineuses ou sombres, probablement liées à nos émotions. D’ailleurs, l’intérêt des déités de l’antiquité, c’est qu’elles matérialisaient ces aspects, au travers par exemple des divinités de l’amour (émotions dites positives) ou des divinités de la guerre (émotions dites négatives). Et ces émotions sont les langues des entités ou divinités. Le dialogue que l’on peut développer avec elles au travers de rituels et prières nous amène à développer les outils et clés nécessaires pour trouver notre lignée cosmique.
Mais le passage de ces divinités multiples aux monothéismes n’a fait que rajouter des couches supplémentaires nous séparant des guides pour nous mener à nos lignées originelles.
Bien que lorsqu’on prête attention aux monothéismes, on se rend compte que les déités de ces cultes ont été réduites aux plus simples expressions émotionnelles, à savoir « l’amour » et « la haine », « le lumineux » et « le sombre », ou encore « dieu » et « satan ». Les autres déités ayant été reléguées aux rangs d’anges et de démons. Ces simplifications, à mon sens, éloignent les âmes de leurs lignées originelles, car elles coupent les chemins d’accès à celles-ci en concentrant les pouvoirs sur 2 canaux principaux liés à des lignées hybrides que sont les lignées génétiques terrestres, qui n’ont aucun fondement cosmique. En revanche, elles servent d’autres intérêts, notamment, celui du contrôle des populations. Le virtuel n’a donc rien inventé.
C’est pourquoi, il convient d’être très attentif aux entités que nous alimentons par nos énergies. Et c’est également pour cela que le discours qui consiste à dire « chacun et chacune est libre de croire en ce qui lui convient » présente un caractère de dangerosité, en ce sens qu’il permet de continuer à alimenter ces lignées hybrides. Cependant, il apparait, malgré tout nécessaire de garder cette possibilité. En effet, elle a tendance à empêcher les entités et égrégores simplistes de tout capter. Ce qui laisse, tout de même, des chances et opportunités à d’autres entités d’origine plus anciennes de pouvoir renaître et revivre au travers de nous (n’en déplaise, aux milieux néo-païens identitaires et reconstructionnistes, les entités sont « réinventées » et adaptées de nos jours). Et c’est cette possibilité, même mince de la libre croyance, qui permet aux êtres dits « éveillés » de se reconnecter à leur lignée cosmique, si , bien sûr, ces personnes ont la force et le courage de s’y atteler.
Le chemin est long, ardu, épuisant et n’apporte que peu de satisfactions. Et au final, souvent, on l’emprunte, parce qu’il n’y a plus le choix, si l’on veut continuer à vivre. D’autres ont préféré faire un reset, ne supportant pas la souffrance d’ici-bas. En leur souhaitant d’avoir pu rejoindre leur lignée cosmique et d’y être enfin heureux et heureuses.

Auteur : Solrika

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