L’Utilisation de la Terre en sorcellerie: Introduction

La terre est probablement l’un des éléments les plus puissants d’un rituel. En effet, elle est un puissant catalyseur, non seulement grâce aux énergies qu’elle contient depuis toute éternité mais surtout, grâce aux informations liées au lieu où vous l’aurez récoltée et dont elle est imprégnée.

Si vous la récoltez sur un champ de bataille, alors elle a été imprégnée de sang, de colère, d’angoisses et de souffrance, ce qui lui confère des propriétés particulières et une très grande puissance. On prendra de la terre issue du champ de bataille, côté vainqueur, pour des rituels visant par exemple, à gagner des procès, ou à prendre le contrôle sur un adversaire, et en général, dans les situations où vous devez vous battre contre un ennemi.

La terre prélevée sur des sites sacrés (tels que Stonehenge, Lourdes, le Parthénon, etc.) contient une matrice d’informations qui en font un élément extrêmement puissant pour tout travail occulte.

Faites comme moi: emportez toujours quelques sachets ou petits bocaux vides avec vous lors de vos vacances ou randonnées et récoltez la terre des lieux que vous savez être chargés.

Il peut s’agir du lieu d’un meurtre, d’une tombe, ou du lieu d’une apparition miraculeuse,,,

La terre provenant des cimetières ou d’une tombe particulière est très souvent incorporées aux rituels. En effet, elle contient l’essence même de la personne ou des personnes qui y sont ensevelies.

Par exemple, la tombe d’un meurtrier exécuté par la justice est très efficace pour les travaux occultes consistant à vous débarrasser d’une personne dangereuse qui vous harcèle ou qui vous menace.

Pour comprendre ce principe, comparons-le avec l’usage que fait le Vatican de ses reliques.

On a distingué les reliques par « classes »  :
a) sont considérées comme reliques de « première classe » les corps des saints ou les fragments importants de ces corps (crâne – on parle du chef – , ossements entiers) ;
b) les reliques de « deuxième classe » sont les fragments d’os, les parcelles des cendres funéraires, les cheveux, ou encore les objets qui ont appartenu aux saints – comme leurs vêtements – ou enfin les instruments mêmes de leur martyre ;
c) les reliques de « troisième classe » sont des objets qu’on a mis en contact avec le corps du saint, son tombeau ou sa châsse, ou encore le liquide parfumé (souvent appelé myrrhe) qui coule parfois de leur dépouille mortelle. (source: infocatho )

Reliquaire de l’Eglise Onze Lieve Vrouw à Bruges

La terre que vous utiliserez dans votre rituel est comparable à une relique de deuxième classe, sauf si il s’agit de terre prélevée d’un champ de bataille et imprégnée de sang, ce qui en fait une relique de première classe.

Dans l’article suivant, nous passerons en vue les différents types de terres et leurs usages (liste bien entendu non exhaustive).

Auteur: Heliah

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